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Échange International

 

Sujet :

L'application de programmes d'activités physiques pour améliorer la SANTE de la communauté universitaire et pouvoir de cette façon prévenir quelques problèmes dérivés du SEDENTARISME.

 

INTERVENANT DE L'EVENEMENT

Pascal Giraud
La santé, la Sédentarité : Lutter par une programmation différentes des A.P.S.A.

Quels sont les impératifs qui imposent d'avoir une vie physique à tout âge ?

Cinq thématiques se dégagent :

Þ Diminuer les coûts en terme de santé publique (éviter les accidents, limiter les coûts entraînés par les méfaits de la sédentarité).

Þ Tirer des bénéfices personnels au plan de sa santé physique (fonctions physiologiques) et psychologique (bien-être, lutte contre le stress).

Þ Assurer une insertion relationnelle du pratiquant dans des réseaux divers (amicaux, associatifs, etc.).

Þ Disposer d'un loisir qui soit l'occasion de détente, d'entretien physique et simultanément engage un mode de vie.

Þ Maintenir une apparence physique et sociale, répondant aux impératifs de la vie actuelle (décrite comme centrée sur l'apparence), et confortant de ce fait assurance et confiance en soi.

« AVOIR LE SPORT DANS LA PEAU. »

les activités physiques et sportives donnent à leurs émules le sentiment d'aller autant vers la liberté que vers la santé. Plus de liberté, et donc plus de prise ne charge : « c'est moi qui m'occupe de ma santé, ce n'est pas la collectivité, me voilà libre ». Mais cela exige des disciplines de vie. Dans ces disciplines, il y a toujours le sourire narquois de celui qui organise, qui programme et qui d'une certaine façon contraint ; et c'est peut-être là une autre contradiction du rapport entre « être libre, bien dans sa peau » et la santé.

HISTORIQUE

A la fin du XIXe et au début du XXe siècle l'EPS est mise à contribution pour lutter contre les maladies (la tuberculose notamment) et l'affaiblissement corporel. L'on craint que la race ne « dégénère » et il faut lutter contre le surmenage des écoliers.

Dans la seconde moitié du XXe siècle l'EPS va progressivement se distancier des préoccupations thérapeutiques et sanitaires des populations pour participer à une conception de la santé plus proche du développement harmonieux de la personne organisé autour du noyau psychosomatique.

Les finalités éducatives se fondent sur des valeurs issues de grandes philosophies (humanistes, idéalistes, socialistes…) des religions ou des traditions laïques révolutionnaires.


Les finalités sont d'ordre religieux ou moral, politique (formation du citoyen), psychologique (développement de la réflexion, jugement, invention, activités corporelles…) ou sociales (ordre, discipline, respect des règles, d'autrui, hygiène…)

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